COLOMBES : les effets « quartiers »
En quoi le fait d’habiter dans un quartier influence-t-il ses choix individuels et ses décisions personnelles?
Le fait de vivre dans un quartier donné, qu’il soit favorisé ou défavorisé, choisi ou imposé par la vie, a-t-il un impact sur les performances scolaires, le choix du parcours professionnel, le comportement électoral, l’attirance vers la délinquance ?
Est-on à la merci de l’influence de ses voisins, de ses copains de classe, du milieu enseignant... ?
Le fait de demeurer dans tel ou tel quartier nous fait-il adopter des comportements spécifiques, nous fondrons dans un moule?
La qualité des services publics, sa position géographique du quartier dans la ville ou sa réputation sont-ils tous objectifs ou suggestifs ?
Devons-nous accepter les préjugés qu’ils soient positifs ou négatifs des habitants extérieurs de notre quartier sur notre identité ?
De toute façon en milieu urbain nous habitons tous un quartier voir même pour Paris, Lyon, Marseille un arrondissement.
A Colombes nous avons peut être maintenant 10 quartiers et à une époque 7 villages,
reste que nous nous sommes tous des Colombien(ne)s.
J'offre à votre attention ces introspections de sociologue, dont je n’ai pas de réponse toute faite.
Vous avez QUARTIER LIBRE pour y réfléchir.