SAMEDI 24 NOVEMBRE à l'école Léon Bourgeois B
PLUME DE COLOMBE
"Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups.
Soyez donc prudents comme les serpents,
et simples comme les colombes" Matthieu 10-16
SAMEDI 24 NOVEMBRE à l'école Léon Bourgeois B
COLOMBES : Les avancées du projet d’aménagement du stade Yves du Manoir.
Je n’ai aucun mérite dans le texte ci-dessous à part celui d’aller chercher les informations dans la rubrique des conseils de quartier.
http://www.colombes.fr/fr/mairie-pratique/les-conseils-de-quartiers/index.html
Ci-dessous l’extrait du compte-rendu du 7 juin 2012 en ligne et de ce fait validé par la municipalité et les membres du conseil de quartier du centre.
ECHANGE AVEC LE MAIRE CONCERNANT LE PROJET D’AMENAGEMENT DU STADE YVES DU MANOIR
« Lors du précédent mandat du conseil de quartier, un courrier avait été envoyé au Maire afin de faire part de ses réserves quant à l’implantation d’une surface commerciale au sein du projet d’aménagement du stade Yves du Manoir (YdM).
Cet échange avec le Maire fait donc suite à ce courrier… »
« Au final, le projet prévoit donc d’installer sur l’emprise citée ci-dessus :
- le Centre National du Hand-ball, comportant le siège de la Fédération Française de Hand-Ball, de l’hébergement et de la restauration pour les équipes de France masculine et féminine, des salles d’entraînement…
- une Arena mixte de 8000 places qui accueillera les rencontres des équipes de France, mais aussi des matchs d’autres disciplines (volley, basket…) et d’autres types d’activités (spectacles…)
- la rénovation du parc départemental du sport scolaire et associatif avec des nouveaux terrains (foot, rugby, athlétisme)
- des espaces ludiques et de détente, accessibles à tous via des axes de circulation
réservés aux vélos et piétons
- des parkings
- un hôtel
- un programme mixte comportant des bureaux, des commerces et des logements (pas plus de 200 logements)
Ce projet d’aménagement représente ainsi une enveloppe de plus de 500 millions d’euros, dont environ 140 millions proviendront de fonds publics (conseil général, ville…), le reste étant apporté par des investisseurs privés. La participation financière de Colombes sera à hauteur de la valorisation foncière des terrains qu’elle possède sur l’emprise (stade Fernand Hémon…).
Concernant les inquiétudes du conseil de quartier liées à l’implantation d’un pôle commercial composé d’une grande surface et d’une galerie commerciale, le Maire précise que rien n’est arrêté pour l’instant. Sans être opposée par principe à une quelconque solution, la Ville est particulièrement vigilante à l'impact d'une grande surface commerciale et/ou d'une galerie commerciale sur les commerces alentours et, en particulier, sur les commerces de la rue St-Denis.
Le Maire précise que l’objectif n’est pas de fragiliser le commerce de centre ville, alors qu'avec la piétonisation, la ville fait de gros efforts pour redynamiser ce secteur.
Plusieurs questions sont ensuite posées :
- la ville est-elle prête à faire marche arrière si ce pôle commercial menace l’équilibre des commerces ?
Il est trop tôt pour se prononcer définitivement, mais la ville a fixé ses orientations et elle s’y tiendra.
- des études d’impact sur l’implantation d’une galerie commerciale ont-elles été réalisées ?
Oui, le cabinet d’étude a estimé qu’une grande galerie commerciale aurait un impact négatif sur les commerces à proximité.
- la participation financière de la ville est importante, les Colombiens en bénéficieront-ils ?
Oui, parce que le site comptera des équipements publics, qui seront bien entendu accessible aux Colombiens.
- Des bâtiments ou espaces actuels seront-ils préservés en mémoire du stade Yves du Manoir ?
Oui, vraisemblablement le pavillon de pesage. »
COLOMBES : le centre de rassemblement
C’est aux prémices de l’hiver 1939 que ceux qui ne rentraient pas dans le moule ou qui ne correspondaient pas à l’image de l’être dit « idéal » furent plus que stigmatisés.
Les personae estimées non gratae habitant Paris ont de ce fait été parquées au stade de Colombes avant d’être envoyées pour beaucoup à une mort certaine en camp d’internement.
Par ostracisme, ils avaient été bannis de la cité et de la société au nom d’une idéologie politique fasciste.
Que toute dictature totalitaire et raciste ne se conjugue plus qu’au passé.
Dimanche 18 novembre à 14h30
au stade de Colombes
la plaque de commémoration sera dévoilée.
COLOMBES : plus vrai que nature
Dimanche 11 novembre à l’Association du Centre Nature de Colombes rue Solférino Françoise Figus a ouvert une porte sur le surréaliste mais surtout notre esprit
aux œuvres de René Magritte.
Thème de cette superbe présentation : Comment René Magritte se sert de la nature (ou peut être de sa propre nature) dans son œuvre.
Je ne vais pas vous refaire la conférence elle était parfaite. Mais par contre je vais vous parler de mon ressenti.
René Maguitte c’est peut-être la pensée imagée mais Françoise cet après-midi c’était le pinceau de l’esprit et une palette d’émotions positives :
l’empathie, la passion, l’enthousiasme, la tendresse, le plaisir, l’engouement...
et pour nous le bonheur n'était pas rêvé. Il était là. C’était magique.
COLOMBES : le monument aux morts, place du et aux souvenirs
En cette période de commémoration du 11 novembre je vais pour les plus jeunes ouvrir une page non de l'histoire de France mais du patrimoine local.
Le monument aux morts de la place du souvenir est une œuvre de Charles Yrondy, artiste colombien comme les cinq autres participants au concours.
C'est par une souscription publique qu'il put par la suite être érigé.
Le projet était qu'il soit élevé sur la place de l'église Saint Pierre Saint Paul de l'époque (le clocher)
ou sur la place de l'Hôtel-de-Ville mais ainsi va les projets ils ne sont pas inscrits dans le marbre.
Cette œuvre de bronze sur un piédestal de pierre fut inaugurée le 29 avril 1923.
A l'origine la sculpture représentait un fantassin écrasant l'aigle dit germanique gisant à terre pendant que la Victoire ailée enserrait le vainqueur.
Toute une allégorie qui n'a pas été du goût des Allemands lors de l'occupation (guerre 1939-1945).
Il va sans dire qu'ils ont fait enlever l'aigle agonisant qui symbolisait leur défaite du 11 novembre 1918 pour le faire remplacer par quelques branchages épars pour ne pas dire quelques branches mortes.
C'est le sculpteur Alexandre-Mathurin Pêche qui à la libération fut en charge de redonner au monument son éclat d'origine.
Comme nous sommes de plus en plein 10ème anniversaire du carré des créateurs je m'autorise en aparté à vous indiquer qu'Alexandre-Mathurin Pêche était un peintre, sculpteur, profession de dessin colombien mais aussi le fondateur de la Société des Amis des Arts de Colombes.
En 1984 la municipalité de l'époque a juste reculé légèrement le monument de sa place initiale pour des raisons d'urbanisation.
Pour ceux qui sont très épris de devoir de mémoire sachez qu'au cimetière de Colombes nous avons aussi un monument aux morts des victimes de la guerre de 1870-1871 qui a été érigé en 1877 par la municipalité de l'époque.
Le cajòn c’est le battement de cœur du flamenco.
Eh oui c’est un instrument de musique le cajòn.
Ce n’est pas un nid pour les colombes et les oiseaux de banlieue quoique...
C’est bien un instrument de musique à part entière qui à l’origine était joué par des esclaves.
Ce n’est pas tout à fait une batterie ni une percussion de batucada.
C’est plus le Pérou ou Cuba que le Brésil.
C'est plus le flamenco que la samba mais tout aussi enivant.
José-Luis vous fera découvrir l’instrument et pour les passionnés il vous propose des cours à domicile.
Eh oui il se déplace à Colombes.
Si vous êtes intéressé contactez le au :
06 18 57 96 76 ou par mail: castillojl@hotmail.fr
Le Racing Métro ne se vit plus à visage découvert ?
Personnellement je ne vous invite pas à vous présenter au stade Yves du Manoir avec un masque.
Je pense que vous entendrez plutôt le R qui veut dire Refus d’accès.
La loi du 11 octobre 2010 interdit la dissimulation du visage dans l'espace public.
Se dissimuler le visage est indiqué dans la loi comme portant atteinte aux exigences minimales de la vie en société.
La République se vit à visage découvert.
L’article 1er énonce que : nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage.
Il n'est même pas nécessaire, à cet effet, que le visage soit intégralement dissimulé.
Porter un loup n’est pas permis non plus.
Les exceptions légales restent juste les tenues justifiées par raisons de santé ou pour des motifs professionnels.
Je suis désolée Zorro, mais tu ne pourras pas assister au match et ceci je le signe à la pointe de ma plume.
COLOMBES : Inauguration du tramway T2
Le lundi 19 novembre 2012
de 12h à 14h
c’est la fête du tramway T2
Parc Pierre Lagravère à Colombes
entrée boulevard Charles-de-Gaulle/boulevard du Havre
station T2 : Parc Pierre Lagravère
Il y aura des animations
COLOMBES : ses antiquités hors de prix
Les fouilles à Colombes ont permis en 1987 de mettre à jour deux pichets et une gourde.
Ces trois objets ont été datés entre le XVème siècle et le XVIème siècle par le Directeur des Antiquités Historiques de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.
Ces objets ont été découverts rue Gabriel Péri et auraient été façonnés en Beauvaisis (région nord du bassin parisien).
Ils sont en grès dans les nuances beige /ocre.
J'aurais pour ma part tellement voulu s'ils aient été fabriqués rue des Gros- Grès de la main d'un Colombien. L'histoire en aurait été plus jolie mais elle se serait éloignée de la réalité prônée par le Directeur des Antiquités.
Elles résistent bien au temps tout de même ces céramique de grès. Elles ont une excellente résistance aux agressions de toutes sortes.
C'est fou comme de l'argile si malléable peut lorsqu'on la chauffe à haute température devenir si dure et imperméable dès qu'elle est vitrifiée.
Les deux pichets découverts sont loin d'être deux vulgaires cruches ne vous en déplaise. Ce sont des unités de mesure et la gourde ne l'est pas tant que cela. Ce n'est pas que du bidon.
Reste qu'elles seront toujours là lorsque les gobelets en carton auront disparu.
Elles résistent au temps ces céramiques et elles sont même dans le patrimoine et les inventaires du musée d'art et d'histoire de Colombes.
COLOMBES : le Conseil Communal des Jeunes
Le 17 novembre 2009 ont été élus pour un mandat de 3 ans 32 jeunes (collégiens/ collégiennes et lycéens/lycéennes).
Ils ont réalisé et participé à la vie de notre commune.
Ils sont loin d’avoir démérité dans leurs missions.
Je vous invite à consulter leur blog pour mieux mesurer leurs actions réalisées.
http://blogccjcolombes.blogspot.fr/p/cest-quoi-le-ccj.html
Félicitations pour votre travail.