L’agression d’une ex conseillère municipale : un comportement d’une extrême gravité
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Dimanche 9 février 2014, boulevard Gambetta, une ex conseillère municipale de la mandature de Nicole Gouéta, a été agressée verbalement et physiquement par deux individus qui se sont revendiqués être des soutiens d’un candidat aux élections municipales.
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Ces deux personnes après avoir apostrophé l’ex élue de la République par son prénom, sont sorties de leur véhicule pour l’insulter, ensuite la frapper à coups de poing dans la mâchoire et finir par l’humilier en lui renversant sur la tête un pot de colle.
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Quel mépris de la démocratie et quel acte de lâcheté d’agresser à deux une femme seule. Nous nous devons de dénoncer en République de tels comportements.
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Une plainte a été déposée par la victime.
Une enquête sera diligentée par la police. Cet acte de violence ne doit pas rester impuni.
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De tels procédés qui bafouent les bases même de la démocratie sont inacceptables et d’une extrême gravité en République.
Un Etat de droit ne peut tolérer les violences physiques, verbales ainsi que les menaces comme les injures ou la diffamation.
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Un Maire se doit en tant que premier magistrat de la ville de dénoncer de tels faits.
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C’est de sa responsabilité de garantir la démocratie et le maintien d’un climat apaisé lors de campagnes électorales.